Je vous propose de découvrir le récit de quelques rencontres et fantaisies qui m'ont particulièrement excitée...


Je fais entrer le monsieur, un peu surprise. Je m'apprêtais à sortir ; je porte une jupe pastel juste en-dessous du genou et un petit chemisier, comme tous les jours. C'est un voisin que je connais de vue : peut-être y a-t-il eu un problème dans l'immeuble ? Dans mon quartier, habituellement il ne se passe pas grand-chose... Je le fais asseoir, vaguement inquiète : il a un petit sourire en coin qui ne me dit rien qui vaille.

- Vous avez passé une bonne soirée, samedi ? demande-t-il.

Ah oui. Ce soir-là.

- Oui...

J'avais bu quelques verres, ce qui ne m'arrive jamais. Je ne me souviens pas de tout.

- Oui, même une excellente soirée, n'est-ce pas ?

Son sourire s'est élargi. En me regardant droit dans les yeux, il dépose une enveloppe sur la table basse. Je l'ouvre après un moment de silence... et je pousse un petit cri : moi, samedi dernier, dans la rue, en train d'embrasser Anne-Sophie à pleine bouche, et - horreur: - le moment où on s'est un peu déshabillées et où on était toutes les deux les seins à l'air sous un porche ! Que diraient les voisins s'ils voyaient ces photos ? et les gens du quartier ? et mes collègues de l'école privée ?

Je relève les yeux, effarée. Mon visiteur semble avoir lu dans mes pensées.

- Ca pourrait choquer les gens, hein ? A ton boulot, ça serait pas du meilleur effet ? Encore que, peut-être qu'au bout du compte ça leur plairait ?

Je le regarde furieuse : qu'est-ce qu'il se permet d'insinuer ?

- Alors maintenant ma mignonne, voilà ce qu'on va faire : tu vas faire très exactement ce que je dis, sinon je placarde des agrandissements dans tout le quartier. C'est clair ?

Je le regarde sans rien dire. Je n'ai pas vraiment le choix.

- D'abord tu vas te lever, soulever ta jupe de sainte-nitouche, baisser ta culotte et me montrer ton cul.

Je reste immobile, interdite. Et en même temps, je sens comme une chaleur dans le bas-ventre. De toute façon, je ne suis pas vraiment en position de refuser. Je me lève, je soulève ma jupe lentement. Quant à lui, il s'installe confortablement, appuyé sur le dossier du canapé, pour profiter du spectacle. Le salaud ! Je porte une culotte en coton blanche, toute simple.

- Retourne-toi ! ordonne-t-il.

Je lui tourne le dos.

- Allez, fais pas ta timide, montre-moi ton cul !

Un peu tremblante, je baisse ma culotte, lentement, très lentement.

- Voilà, tu es bien mieux comme ça ! s'écrie-t-il d'un air réjoui, et il me met une bonne claque sur les fesses. 

Je sursaute et je pousse un petit cri.

- Penche-toi en avant !

Je me dis qu'au point où j'en suis, je vais faire ce qu'il dit, comme ça il me fichera la paix. Si seulement je n'avais pas bu samedi soir ! Maintenant je suis punie, obligée de montrer mon cul à un type que je connais à peine. Quelle honte ! 

Je lui obéis. (...)

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***

Mon rêve érotique

Je conduis une petite voiture bleue métallisée, flashy... Elle n'est pas à moi, on me l'a prêtée... Je dois voir quelqu'un en urgence, je m'arrête en catastrophe, je gare la voiture n'importe comment, sur un pont au-dessus du fleuve, c'est carrément dangereux mais tant pis...

Pendant que je termine ma conversation, arrive le camion de la fourrière. Je m'en aperçois trop tard, ma petite voiture bleue a déjà été hissée sur le camion. Le mec de la fourrière est un Black entre deux âges, placide, le regard un peu blasé, une bonne tête malgré tout... Je lui propose un arrangement, il ne veut rien entendre, je le supplie, il secoue la tête d'un geste lent et têtu...

Plus tard nous sommes dans un local un peu sombre, il n'y a qu'une petite fenêtre à l'arrière qui nous éclaire d'une lumière un peu grise... Il y a toujours ce type. Je me dis que finalement, comme il ne veut rien entendre, je vais payer l'amende et récupérer la voiture. Je lui demande comment ça se passe, il me répond qu'il faut payer 1200€. Je suis catastrophée, je ne veux pas payer une somme pareille. Le type continue de me dire que non, il ne peut rien faire, mais je ne l'écoute plus, je me frotte et un instant après je suis à genoux, j'ai sorti sa queue et je le suce. Il ne dit rien, il reste impassible mais sa queue est de plus en plus large dans ma bouche. Tout en le suçant je me dis "il ne m'a rien promis, est-ce que je vais pouvoir récupérer ma voiture?" mais je continue, et j'ai la sensation très nette de sa queue qui va et vient, qui glisse doucement à l'intérieur de mes joues, qui avance jusqu'au fond de ma gorge... Le type est de plus en plus excité, je le sens et je continue de plus belle. Il écarte mon chemisier, sort mes seins et commence à me peloter... et les mouvements dans ma bouche s'accélèrent... et je sens les giclées chaudes de son sperme dans ma bouche...

[à ce moment-là je me suis réveillée :-) ]

***

Je porte une jupe noire droite et un chemisier blanc cintré. Il sort tout juste de la douche, la serviette accrochée autour de la taille. Il me fait avancer jusqu'au miroir, debout, jambes légèrement écartées, se plaque derrière moi et commence à me caresser à travers mes vêtements.

Il soulève un pan de mon chemisier et passe la main dessous, sa main est fraîche, délicieusement fraîche sur mon ventre bouillant. Je le regarde déboutonner le chemisier, lentement, enserrer ma taille fine entre ses deux mains puissantes, remonter pour effleurer mes seins... Sa queue se gonfle de plus en plus derrière moi, j'ondule un peu pour bien la sentir.

Il me retire le chemisier, passe la main dans mon string et me touche le clito tout doucement, le doigt juste posé. Je me frotte de plus en plus et n'y tenant plus, je pose la main sur sa queue... mais il me rappelle à l'ordre : tout doux, je pourrai toucher plus tard, c'est lui qui donne le rythme, c'est lui qui me dira.

Il me dénude complètement et je me vois dans la glace, offerte, ses mains parcourant tout mon corps et sa queue toujours plaquée contre moi à travers la serviette qui commence à se dénouer.

Il me demande de me caresser, je commence lentement, ça le fait bander de plus en plus fort, c'est à la fois délicieux et terriblement frustrant. Je me regarde me caresser dans la glace, jamais je ne me vois faire ça d'habitude, j'aime me masturber les yeux fermés... Mais ses mains sont remontées vers mes tétons et je regarde. Il les prend doucement entre ses doigts et joue avec, sans s'arrêter, et ce geste m'électrise. Je sens le premier petit spasme de plaisir et je ne pense plus à rien. J'espère juste qu'il ne va pas s'arrêter maintenant, mais il a senti ma respiration qui s'accélère et il continue de plus belle... et tout d'un coup c'est l'explosion, je me vois jouir devant le miroir et je titube, je m'effondre sur le canapé, mes jambes ne me portent plus, je le regarde avec un sourire béat.

Maintenant je suis à genoux, il bande terriblement fort, je donne d'abord des petits coups de langue sur son gland puis je le suce, je commence lentement mais il me fait bien comprendre qu'il veut des va et vient plus prononcés, ses mains sur mes épaules donnent le rythme.

La vision de ma jouissance et de ses mains sur mon corps nu l'a mis lui aussi au bord de l'orgasme, je sens les spasmes de sa jouissance dans ma bouche et c'est lui maintenant qui me regarde avec un sourire ravi... un point partout :-) 

***

De son propre aveu en arrivant chez moi ce soir-là il en avait « plein le dos » de sa journée. Alors on a mis des lumières tamisées, un peu de musique relaxante et il s’est installé sur la table de massage. J’ai commencé par le haut du dos et les épaules, puis je suis descendue sur le bas du dos et petit à petit sur tout le corps. Sa respiration devenait plus lente et plus paisible.


Je lui ai demandé de se retourner, le massage m’avait donné chaud : j’ai enlevé mes vêtements, mon soutien-gorge et je suis restée en string. Mes seins ont « fortuitement » effleuré son ventre une ou deux fois, il ne bougeait pas mais commençait à avoir un petit sourire en coin. Puis je me suis affairée sur ses cuisses et ses jambes, m’attardant sur les chevilles et les mollets pour remonter ensuite sur ses cuisses, et venir caresser l’intérieur de ses cuisses à plusieurs reprises. Ses mains commençaient à s’activer, à me caresser les seins et les fesses et j’étais de plus en plus émoustillée par tous ces effleurements.

 Il bandait fort, j’ai mis un petit coup de langue, je suis remontée avec ma langue le long de sa queue et j’ai attrapé son gland entre mes lèvres… je suis montée sur la table de massage pour le sucer, avant qu’il réclame d’aller sur le lit pour qu’on soit plus à l’aise.

 J’ai continué à le sucer en laissant monter le plaisir lentement, ses mains venaient caresser doucement mes seins... Nous avons eu envie de passer à l’étape suivante, mon string a volé à l'autre bout de la pièce, je lui ai enfilé le préservatif et il est d’abord venu au-dessus de moi pour me prendre en m’embrassant… Puis je me suis mise à quatre pattes et il m’a pénétrée très lentement… il rentrait, il sortait, il rentrait, en prenant bien le temps de savourer, j’avais le temps de sentir chacun de ses mouvements, de bien les détailler… Il mettait ses mains tantôt sur mes fesses, tantôt sur ma taille et je me sentais bien…

 Il s’est retiré et je l’ai regardé d’un air interrogateur… d’un signe de tête il m’a invitée à me diriger vers la table de massage, il m’a doucement guidée avec ses mains pour que je me penche au-dessus de la table et il m’a prise, debout, en appui sur la table où je venais de le masser, jusqu’à la jouissance.

***

J'ai gardé un souvenir agréable de notre première rencontre. Un bon feeling, un moment sympathique. Mais ce jour-là…

Il arrive et me fait tout de suite déshabiller et mettre à genoux. Non, il ne veut pas s’asseoir, il veut se faire sucer debout. Je lève les yeux vers lui, il cherche mon regard et la langue tournant délicatement autour de son gland, je le regarde longuement, pas mécontente de la tournure que ça prend.

J’ai envie de me voir moi aussi, je l’invite à s’approcher du miroir et je me regarde faire, nue, à genoux, m’affairant sur sa queue bien dure… Il me fait comprendre que je dois pomper, je le fais, avec un petit regard de côté une fois de temps en temps… je lui lèche les couilles en le regardant, je reviens pomper…

Il me fait relever, lèche mes tétons et les aspire très doucement entre ses lèvres, avant d’y passer à nouveau sa langue… Le voir faire décuple mon plaisir, je sens monter des vagues de plaisir qui contractent mon corps et me font gémir et frissonner…

Il me dit d’aller chercher un préservatif et de revenir. Je m’installe debout, les jambes bien écartées, penchée en avant, les mains appuyées sur mon canapé… je me vois dans le miroir, offerte comme ça avec juste mes bas et mes hauts talons, lui derrière moi avec sa queue dressée et je sais ce qui m’attend… et il m’encule, d’abord doucement et en prenant son temps, ensuite plus fort… dans le miroir je le vois faire, il voit que je regarde et il continue de plus belle, en me tenant bien fermement par les hanches, et j’aime voir dans la glace ces mains qui me maintiennent…

Il se retire, se débarrasse du préservatif, me fait remettre à genoux. Je me vois dans la glace le sucer à fond, le pomper en m’aidant de ma main… il prend le relais avec sa main, le bout de ma langue sur son gland… et dans le miroir je vois les giclées qui inondent mon visage, coulent sur mon menton, sur mes seins et même sur mes bas… Mmmh, une excellente rencontre.

***

Il m’a demandé de le recevoir avec mon harnais, des bas résille et des bottes, le ton est tout de suite donné. A peine arrivé il me fait mettre à genoux et défait son pantalon. Je commence à le sucer, d’abord des petits coups de langue pour le mettre en appétit, puis je le prends en bouche vraiment. Les mains derrière le dos, je m’applique.

Il retire son pantalon et s’assoit pour être plus à l’aise. Installé bien au fond du canapé, les yeux mi-clos, il profite de l’instant. Je sens que son excitation monte et mes caresses se font plus insistantes, mais il a envie de faire durer le plaisir : il me demande de me redresser pour pouvoir lécher mes tétons, c’est à mon tour de fermer les yeux et de me laisser faire… Je descends à nouveau le visage vers sa queue bien dure, il tapote ma langue, mon visage, mes seins, il fait monter notre plaisir à tous les deux…

Je recommence à le sucer, il n’arrête pas de me peloter et de jouer avec mes tétons, j’adore ça et je le suce bien à fond, mais à nouveau il m’interrompt : « Pas si vite, tu vas me faire jouir. »

Il me dit de me lever, de me retourner et de me pencher en avant, les mains sur la table. Il m’examine longuement dans cette position, lui toujours assis sur le canapé, puis il se lève et vient me toucher, me palper, me caresser les fesses. Puis il me fait mettre à quatre pattes et à nouveau, il m’examine sous toutes les coutures. Il m’ordonne de me mettre à genoux et de me masturber devant lui… lui aussi se caresse, tout doucement, pour faire lentement monter le plaisir.

Il s’approche de moi, sa queue est tout près de mon visage, je recommence à le sucer, cette fois-ci je sens qu’il ne veut plus que je m’arrête et mes va et vient s’accélèrent… il jouit bien fort dans ma bouche, ce n’est qu’une fois qu'il a fini de jouir tout à fait qu’il lâche ma tête et me laisse me relever.

***

Il était pressé, il ne m’a pas laissé beaucoup de temps pour me préparer cette fois-ci. Il frappe à la porte, je viens à peine de sortir de la douche, j’ai juste le temps de m’envelopper dans une serviette pour lui ouvrir.

Il n’a plus qu’à tirer sur la serviette et je me retrouve nue devant lui. Je l’invite à entrer dans l’appartement mais il reste dans l’entrée en me regardant avec un petit sourire et pose l’argent sur le meuble en face de lui. Il défait son pantalon et baisse son slip. Je m’agenouille en lui rendant son sourire et je commence à le sucer, bien profond, les mains derrière le dos, il appuie sur ma tête pour que ce soit encore plus à fond. Je m’interromps pour le regarder, je lèche partout avec application, je recommence à pomper.

Il me demande d’aller chercher un préservatif, je reviens avec et encore une fois, je cherche à l’entraîner dans l’appartement, sur le canapé ou sur le lit.
« Non, j’ai envie de rester ici, mets-toi à quatre pattes. » Je m’exécute et il me prend en levrette, de plus en plus fort, en me mettant des bonnes claques sur les fesses. Je sens le contact du carrelage frais sur mes mains et mes jambes, je suis de plus en plus excitée et je sens que lui aussi.

« Retourne-toi, me dit-il, j’ai envie de jouir dans ta bouche, garde la bouche ouverte. » Je me remets à genoux, les seins en avant, le visage levé vers lui, son sperme gicle sur ma langue, mes joues, mon menton, mes seins. Il me regarde avec un petit air satisfait. Pendant que je m’essuie il remonte et referme son pantalon, remet sa ceinture et prend congé. Il ne s’est même pas déshabillé.

***

A peine arrivé dans le salon, il déboutonne mon chemisier, soulève ma jupe et glisse une liasse de billets dans mon porte-jarretelles. D’une pression sur mon épaule, il me fait mettre à genoux. Je défais lentement sa ceinture et je commence à le sucer. Il m’encourage de ses commentaires… il tient ma tête et enfonce sa queue jusqu’au fond de ma gorge… il me laisse reprendre mon souffle, descendre un peu plus et lui lécher les couilles, revenir jouer de ma langue autour de son gland, puis pomper à nouveau…

Très vite il m’entraîne vers le lit et me dit de lui mettre un préservatif. Je me prépare puis je me positionne à quatre pattes sur le lit, cambrée à fond, offrant mes deux orifices, sans savoir ce qu’il va me faire… Il me prend directement par derrière, je ressens un délicieux frisson d’excitation… D’abord doucement, puis plus vigoureusement… il me tient par la taille et je me laisse posséder en gémissant… je sens ses coups de queue, je suis fermement maintenue, je les subis sans chercher à me dérober… et je sens les spasmes de sa jouissance en moi.

Il s’allonge sur le dos, je m’éclipse dans la salle de bains mais il ne me laisse guère de répit quand je reviens : il a envie de se faire sucer à nouveau… Il est installé bien confortablement sur le lit, tranquille, détendu et il se laisse faire ; je m’affaire sur sa queue jusqu’à ce qu’elle se dresse à nouveau et je le suce longuement… Il me fait venir de biais pour pouvoir me toucher les seins et la chatte, puis me laisse me remettre de face pour que je le pompe plus profondément… Je sens sa queue plus dure, sa respiration plus forte, puis les giclées de sperme chaud dans ma bouche…